Des millions de prouts

La France va devoir revoir sa copie. La Commission Européenne a rendu hier les résultats de ses évaluations sur les plans carbones élaborés par chaque pays membre. Mais détendons nous avec cette vidéo…


Alors que la Commission européenne vient d’accepter ce mercredi les plans de dix autres pays, dont l’Allemagne et le Royaume-Uni, la France apparaît comme le mauvais élève de la lutte contre le réchauffement climatique.
Parallèlement les pays européens réfléchissent aux manières d’y arriver. Les énergies renouvelables étaient clairement mis en avant même si la France privilégie encore le nucléaire. Le but serait d’arriver, pour la production d’énergie, à un taux de 50% d’énergies à faible teneur en carbone, a poursuivi M. Loos (ministre délégué français à l’Industrie).
La France est aujourd’hui à 46 % – en grande majorité grâce au nucléaire – pour une moyenne européenne de 21 %, a-t-il ajouté.
Seuls quelques pays – Danemark, Suède, Allemagne, Belgique, Pays-Bas notamment – se sont prononcés jeudi pour des objectifs chiffrés et contraignants pour le développement des énergies renouvelables, a indiqué une source européenne.
Berlin a même défendu un taux clair de 20 % d’énergies renouvelables d’ici à 2020.